En FrDès l’embarquement, l’amertume à la langue a dit le non sens. L’enfant se tourne en la mère pour ne rien dire mais faire une toute action. Un territoire sous les pieds s’impose, en une gravité. Les néants s’éloignent, où l’on sait tout. Alors je deviens la bête qui ne sait que la terre, Puis j’apprends : les langages en-crânés, la conception, la démarche des maudits, et chaque grandeur qui sait ne pas se faire savoir, tout cela depuis le cri et vers lui. Et ma colère est telle que je me moque des mots. J’ai voulu le vrai en conscience, mais il n’est rien pour l’homme. Dès ici, je représente l’extra-conscience de l’intra-humain, le par-dessus songeur et sans issue, une condition à ne pas percer ; c’est l’infini que je ne me sais pas vivre. Et bien je redeviens l’enfant. Il y aura l’enfant lorsqu’à la terre crachera le cri, Mes parcelles à moi son défaites de matières, mes parlers ne sont pas exactement eux-mêmes, et pourtant par delà vous tous, il y a corps dans mon âme. Ce que l’Enfant décidera d’appeler un langage se passera de vos compréhensions.